mercredi 29 juin 2016

Mille mormons défilent à la fête nationale polynésienne du 29 juin.

Dans le cadre de la fête de l’autonomie, la fête nationale polynésienne, l’église a été invitée par le pays  au travers du comité d’organisation de la fête de l’autonomie (COFA). 

                           

Cinq pieux (l’équivalent d’un diocèse) ont rassemblé leurs jeunes filles, leurs jeunes gens, jeunes adultes filles et garçons sans oublier leurs dirigeants. Ils sont milles au total à porter l’étendard de l’église et les couleurs de leur pays. Plus de quatre-vingt missionnaires (elders et sœurs) à plein temps ont marché avec les membres devant plus de quatre mille spectateurs.



C’est à la demande également d’Elder Sinjoux Benjamin qui a demandé aux présidents des pieux de participer que les responsables se sont mobilisés et ont pu s’organiser afin d’être au rendez-vous. Un défi réalisé grâce à l’obéissance de chaque mormon jeunes et moins jeunes.

Participer à la vie associative fait partie de la vie des mormons.



Historique 

On demande souvent aux représentants de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours si l’Église est de plus en plus « intégrée » dans la société.

Si le terme « intégrée » signifie que les saints des derniers jours sont de plus en plus considérés comme ayant une place importante dans la société, surtout aux États-Unis, où il y a maintenant quelque six millions de membres, alors, évidemment, la réponse est « oui ».

L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, fondée en 1830 dans l’état de New York avec seulement six membres, est aujourd’hui la quatrième église la plus importante aux États-Unis selon des estimations indépendantes.

Il s’ensuit que l’on trouve ses membres à tous les niveaux de la société, dans les affaires et l’agriculture, dans l’éducation et les sciences, dans les partis politiques et le gouvernement, dans l’industrie du divertissement et dans les médias. 

En fait, les gens connaissent vraisemblablement mieux les saints des derniers jours comme amis, voisins et collègues de travail qu’ils ne connaissent l’institution de l’Église elle-même ou ses enseignements. C’est vrai aussi dans beaucoup d’autres pays en dehors des États-Unis.

Après le défilé les membres de l’église se sont rassemblés sur la « Place Chirac » afin de déguster une collation offerte par le COFA.



Ensuite chacun rentrait dans son pieu respectif en étant satisfait de cette belle participation à cette belle fête nationale de la polynésie.

dimanche 19 juin 2016

Steeve Tchan, nouveau président du pieu de Punaauia.
Lors de leur conférence de pieu ce dimanche 19 juin 2016 à la chapelle du Lotus, les membres  de Punaauia, Bora Bora et Maupiti ont soutenu Steeve Tchan comme Président du pieu de Punaauia, Glenn Brodien comme premier conseiller et Michel Teauroa comme deuxième conseiller.
Glen Brodien - Steeve Tchan - Michel Teurua 

Elder Benjamin Sinjoux,  représentant l’église en Polynésie française a été assigné pour procéder à la relève, il a été assisté d’Elder Nielsen, premier conseiller dans la présidence de l’église dans le Pacifique, tous deux Autorité 70. Michel Leboucher accompagné de son épouse et Gildas Vaiho Faatoa, élus de l’assemblée de la Polynésie française étaient présents.
Les élus de l'Assemblée de Polynésie française 

Steeve Tchan était le deuxième conseiller de l’ancienne présidence. Il a été évêque et a également assumé plusieurs offices à responsabilités dans l’église. Père de trois enfants, Onetea, Rahan et Joshua, il défend la place d’un père dans un foyer et encourage les membres à consacrer du temps à leur famille. Il a épousé Patricia Temataua, tous deux ont maintenu un mode de vie exemplaire à cause de leur foi au Seigneur Jésus-Christ.
Glenn Brodien a servi en tant que Membre du Grand Conseil dans ce même pieu, il continue dans l’épiscopat de Punaruu et a été appelé par le Seigneur à le servir dans le pieu de Punaauia. Son épouse, vaillante et dévouée, sœur Kathy Brodien travaille dans le pieu en tant que présidente des Jeunes Filles.
Michel Teauroa a également occupé les fonctions de Membre du Grand Conseil ensuite évêque et aujourd’hui deuxième conseiller dans le pieu de Punaauia. Son épouse et ses deux enfants sont son plus grand soutien et sa force.
Claude Nauta et Marc Valenza les dirigeants sortants.

Claude Nauta le président sortant a dirigé la conférence et a pris un temps pour remercier encore une fois les membres du pieu de Punaauia pour leur foi, leur amour envers la présidence de pieu et leurs foyers. Emu, il a donné comme à l’accoutumé un enseignement, celui que tous les membres ont gravé dans leur cœur : Les 5 mots les plus importants : « Je suis fier de toi ». Il a également tenu à rendre hommage à son épouse, fidèle compagne de service et un support infaillible, Yolande Nauta ainsi qu’à ses enfants qui ont partagé leur père avec plus de  1500 personnes que compte le pieu.
Après l’intervention d’Elder Sinjoux, Elder Nielsen a pris le temps afin de laisser un enseignement d’encouragement et d’amour. Il a partagé une écriture qui parle « …d’un jour parfait… » Et a posé la question aux membres : Quel serait votre journée parfaite ? Serait-ce le jour où on vous a relevé ? Ou le jour où on vous a appelé ? Ou encore le jour de votre rencontre avec votre femme ? Serait-ce le jour (en s’adressant aux élus présents) où vous gagnerez les élections ? Méditez-y.
Goldas Vaiho, élue de l'APF - Elder Nielsen et Elder Sinjoux 

La journée la plus parfaite est celle où le Seigneur a introduit son fils en disant, « Celui-ci est mon fils, écoutez-le ».
Ensuite Elder Nielsen a laissé comme moyen de rester fort, l’ESPOIR. Il y a de l’espoir pour chacun d’entre nous, peu importe les défis, les situations que nous traversons, le Seigneur ne nous abandonnera pas.

Le Chœur du pieu a baigné la salle de chants joyeux et apaisants.
Elder Pearson, Linda Reeves et Carol Mc Conkie rencontrent les Opinions Leaders.
Vendredi 17 juin, autour d’un débat sur les femmes et les jeunes filles en difficulté, Elder Pearson, président de l’église dans le Pacifique, Linda Reeves de la présidence générale de la Société de Secours, Carol Mc Conkie de la présidence générale des Jeunes Filles ont voulu apporter la contribution de l’église dans cette cause en Polynésie française en permettant l’ouverture des bâtiments de l’église dans toute la Polynésie au gouvernement en tant que salles de classes. Ceci afin de permettre aux enfants des îles de rester près de leur famille tout en bénéficiant de cours dispensé par des enseignants de l’Etat.

Les personnalités qui ont répondu à l’invitation sont : Chantal Minarii Galenon, secrétaire du bureau de l’assemblée de Polynésie, Manutea Gay, président de l’association EMAUTA en charge des centres d’accueil catholique des femmes dont celui de la Mission que les dirigeants ont visité dans l’après-midi. Etait également représenté le ministère de la solidarité et de la condition féminine en la personne de Heimata Tang et de Tumata Helme. Rauana Moriss de « Pü o te Hau » un autre centre, non confessionnel cette fois-ci visité par les autorités de l’église. La présidente, Noéline Parker et le directeur Sylvain Pauwells de l’Union Polynésienne de la Jeunesse et enfin trois présidentes des Jeunes Filles de pieu et trois présidentes de la Société de Secours de pieu.
Soeur Reeves et Mc Conkie avec Rauana Moriss de "Pu o Te Hau"
Soeur Reeves et Mc Conkie et manutea Gay de Emauta 
                                              
Des propositions ont été lancées, des rencontres seront prévus dans les prochains jours.
Sœur Reeves et sœur Mc Conkie sont touchées par l’amour et le dévouement que portent les associations et les  structures polynésiennes afin d’accueillir au mieux les femmes et jeunes filles et de les aider à diminuer leur mal être, à les accompagner.
L’église propose des programmes qui permettront de guider chacun. Le progrès personnel pour les jeunes filles, jeunes soyez forts pour les jeunes et la foi en Dieu pour les jeunes gens…autant  de solutions apportées afin de protéger nos jeunes et de leur enseigner à être autonome et fort en restant près du Christ.
Plus tôt ce matin là, les missionnaires à plein temps se sont réunis afin de recevoir des enseignements des dirigeants du Pacifique et de Salt Lake City.
                             


En effet, Elder Pearson, sœur Reeves et sœur Mc Conkie ont, lors de ce rassemblement, encouragé les missionnaires à rester forts, à ne pas oublier qui ils sont et si l’inactivité les gagnait après leur mission, de ne pas oublier le chant qu’ils ont chanté ce matin là « Je dirai les mots que tu mets dans mon cœur… », J’irai où tu veux que je sois Seigneur…

Bien que le siège de l’église soit à Salt Lake City aux Etats-Unis, le prophète qui se soucie de tous les membres des quatre coins de la Terre envoie les autorités 70 en mission afin de leur exprimer son amour éternel et apporter des enseignements appropriés à chaque peuple.

dimanche 8 mai 2016

La parabole du semeur vécue par la famille Colombel.

Dimanche à la chapelle de Punaruu, une des dix unités du pieu de Punaauia, lors de la réunion de la Sainte-Cène, la plus importante réunion du dimanche, une famille composée de jeunes parents et de cinq enfants présentait un programme sur la parabole du semeur.
Sœur Colombel Christine, une maman moderne et une enseignante a partagé à la congrégation ses expériences en tant que maman dans l’application de la parabole.




Elle nous dit :
« Il faut dire l’évangile au quotidien, sans cesse, dans les moindres détails de notre vie, c’est encore des moyens simples. Comment ? je ne vais pas révolutionner l’évangile, ce sont des choses que vous savez déjà, il y a la lecture des écritures personnelle la prière personnelle, cela nous permet d’établir une communication favorisée avec notre Père Céleste.

La lecture des écritures personnelle m’aide beaucoup non seulement pour la journée mais aussi quand je me trouve dans  une situation où je sens que je vais peut-être un peu m’énerver, ça m’aide beaucoup aussi pour enseigner mes enfants. Quand je lis les écritures je me constitue un bagage d’écritures et d’enseignement en tête et quand mes enfants rencontrent un problème ça me permet d’être inspiré et de les enseigner. C’est la seule façon à mon sens qui permettra de les enseigner correctement.

Quand je fais ma prière personnelle, deux de mes enfants aiment venir écouter tous les matins. Je sais qu’à travers ce simple geste il y a un enseignement aussi.
Les programmes de l’église sont également des outils essentiels pour enseigner les enfants. La Foi en Dieu pour la Primaire, le progrès personnel pour les jeunes filles et aussi le livret « Ma famille ». Ce qui est important c’est d’accompagner les enfants et d’aller à leur rythme. La réussite de nos enfants réside dans le nombre de fois qu’ils prient.
Il y a une différence entre ECOUTER et COMPRENDRE. En tout cas il faut comprendre ce qui est demandé par le seigneur.

Quant à Teriitetia son époux, il préconise d’affronter les détresses en couple, d’être souder. La convoitise est une tentation qui touche tout le monde.  Avoir de l’argent c’est bien MAIS ce que l’on fait avec n’est pas toujours bien.

La parabole du semeur :

Il appartient à chacun de nous de se fixer les priorités et de faire les choses qui bonifient notre terre et nous donnent une récolte abondante. (Dallin H. Oaks, apôtre). La semence qui a été semée était « la parole du royaume » (Matthieu 13:19), « la parole » (Marc 4:14), ou « la parole de Dieu » (Luc 8:11), les enseignements du Maître et de ses serviteurs.

I. Sol pierreux :Pas de racine
II. Épines : Les soucis du siècle et la séduction des richesses
III. Tomba dans la bonne terre [et] donna du fruit




lundi 11 avril 2016

Plus de vingt milles missionnaires en ligne 

en Polynésie française.


Pendant trois soirs, tous les jeunes et jeunes adultes des pieux de Tahiti se sont déplacés à la chapelle de Fautaua à Papeete. Ils ont été invités par deux spécialistes des Médias de l’Église, missionné par la présidence de l’interrégion, il s’agit de Lincoln Reid, spécialiste en médias numériques et de Matthew Murray, spécialiste en réseaux sociaux.

 


L’objectif de cet événement est de former les jeunes à l’utilisation correcte et appropriée des réseaux sociaux et des moyens numériques mis à la disposition de tous et spécialement des jeunes. Depuis la création de Facebook ou Twitter ou You Tube etc. la population la plus impliquée dans son utilisation est bien la jeunesse, mais de plus en plus les adultes s’y sont également familiarisés. 

Trois ateliers étaient proposés aux jeunes et aux dirigeants qui les ont accompagnés. Celui des sites de l’Église, comme www.Pacific.area.org, les salles de presse du Pacifique…Il était question dans cet atelier de faire connaissance avec le site du Pacifique. Tenu par Lincoln Reid, il encourageait les jeunes à partager leur histoire sur ce site et de permettre à tous les internautes d’apprécier ses expériences qui pourront apporter une aide quelconque.
Ensuite un autre atelier sur Facebook tenu par Matthew Murray qui a partagé la page suivante : www.facebook.com/LDSPacificArea/ . Ici, la consigne était de « liked » aimé, « comment » commenté et « share » partagé cette page et d’y proposer aussi leurs expériences édifiantes.
Enfin le dernier atelier était celui de You Tube animé par Rainui Ariipeu qui orientait les jeunes vers des vidéos significatives et qu’ils pouvaient exprimer leur droit d’aimer ou pas une vidéo.
De par ces moyens des réseaux sociaux, les jeunes peuvent apporter du bien autour d’eux. Président Valenza et président Tupai ont d’ailleurs encouragé les jeunes à inonder la toile par leurs exemples de vie chrétienne et par les expériences vécues et comment le Seigneur est-il intervenu dans leur vie et comment vivent-ils leur foi en Polynésie française.
Pour terminer, président Tupai s’est engagé à changer sa photo de profil et à mettre ceci « Je suis un missionnaire en ligne ». Soyez tous un missionnaire en ligne. Plus de vingt milles membres de l’Église en Polynésie française représentent plus de vingt milles missionnaires en ligne.
D’autres sites : Mormon Médias Tahiti – Conférence JAR – Conférence JSF – RM de Polynésie française.

Le Temple, un lieu où les bénédictions attendent les membres.

Rechercher les bénédictions du Temple, les Australes 

en sessions.


Tout au long de l’histoire, le Seigneur a commandé à son peuple de construire des temples. Les temples sont littéralement les maisons du Seigneur. Ce sont des lieux de culte saints où les personnes peuvent faire des promesses sacrées à Dieu.
Pendant les deux semaines de vacance, les membres de Raivavae et Tupuai ont investi le motel du Temple. L’ambiance de vie bon enfant était visible, pendant que certains étaient en sessions au Temple, les autres s’attelaient à préparer le repas et à garder les enfants.




C’est toujours un bonheur pour les membres des îles de se déplacer au Temple. Pour cela il leur aura fallut faire des sacrifices, économiser afin de payer leur voyage et de subvenir à leurs besoins sur Tahiti. Il n’est pas écarté que parfois des membres ne puissent parvenir au temple par manque de moyens financiers, mais très souvent ils y arrivent car ils ont foi que c’est un déplacement qui ne leur apportera que du bonheur dans leur vie et des réponses à leurs questionnements.


En plus de nous sentir proches du Seigneur quand nous sommes dans le temple, nous pouvons continuer à recevoir des bénédictions après être retournés à notre vie quotidienne. Quand nous allons au temple nous avons une perspective plus claire, le sentiment d’avoir un but et nous ressentons la paix. Thomas S. Monson décrit les bénédictions du temple comme suit :


« Quand nous allons à la sainte maison et que nous nous souvenons des alliances que nous y contractons, nous pouvons supporter toutes les épreuves et surmonter chaque tentation. Le temple donne un but à notre vie. Il apporte la paix à notre âme, pas la paix qu’apportent les hommes mais la paix promise par le Fils de Dieu quand il a dit : ‘Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous la donne pas comme le monde la donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s’alarme point.‘ »
Boyd K. Packer, président du Collège des douze apôtres, a décrit d’autres bénédictions que l’on reçoit lorsqu’on va au temple :
« Il est fréquent que les membres de l’Église se rendent au temple quand ils rencontrent des difficultés ou quand ils ont à prendre de graves décisions. C’est un bon endroit où emporter nos soucis. Dans le temple, nous pouvons avoir une perspective spirituelle. Là, pendant la durée du service du temple, nous sommes ‘hors du monde’.


 « Le Seigneur nous bénira si nous faisons l’œuvre sacrée des ordonnances dans le temple. Les bénédictions que nous y recevons ne se limitent pas à notre service dans le temple. Nous serons bénis dans toutes nos affaires » (« Le temple sacré », Ensign, février 1995).
Dans le temple, nous recevons des enseignements, nous faisons des alliances, et des bénédictions nous sont promises. Nous recevons des ordonnances qui nous permettent de retourner vivre en présence de Dieu.

Le pieu de Punaauia en marche; Marchez résolument, sans relâche et avec persévérance...

Jeunes ; Marchez résolument vers le temple!

Les jeunes filles et jeunes gens du pieu de Punaauia se sont regroupés à la chapelle du Lotus pour une marche spirituelle et enthousiaste en direction du temple de Papeete. Ils étaient environ 150 jeunes prêts depuis 5h00 du matin alors que le soleil se lève à peine à Tahiti.  Entourés de leurs dirigeants, ils ont tout simplement voulu montrer leur détermination à marcher résolument vers le temple.
C’est une manière concrète d’affirmer leur volonté de suivre le Christ, d’obéir à ses commandements et de recevoir les bénédictions du temple, à savoir, rester dignes d’y entrer pour contracter les alliances et les ordonnances sacrées en vue d’une famille éternelle. C’est l’objectif de tous les jeunes de l’Eglise, le mariage au temple après une mission pour les jeunes gens.

Les jeunes rassemblés devant le Temple de Titioro à Papeete - Avril 2016


Le temple de Tahiti, l’un des 10 temples du Pacifique, est le premier temple français ouvert depuis 1983 et consacré pour la première fois par le prophète Gordon B. Hinckley. Il a été rénové puis reconsacré en 2006. Avant cela, les membres qui sont aujourd’hui au nombre d’environ 25 000,  faisaient des sacrifices pour se rendre dans le temple le plus proche celui de Hamilton en Nouvelle Zélande. Depuis l’annonce faite aux jeunes membres par le prophète Thomas S. Monson, lors de la conférence d’octobre 2012, de partir plus tôt en mission, la fréquentation du temple a augmentée.
Elle ne cesse d’augmenter dans le monde et aujourd’hui 150 temples sont en activité.

Les jeunes de la paroisse de Punaruu 



Extrait du discours du prophète actuel, Thomas S. Monson lors de la conférence d’Avril 2016 :
« La plupart d’entre vous connaissent le personnage d’Alice tiré du roman de Lewis Caroll, Les aventures d’Alice au pays des merveilles. Vous vous souvenez qu’à un moment elle arrive à un croisement où la route se sépare en deux chemins partant chacun dans une direction opposée. Alors qu’elle réfléchit à la direction à prendre, elle rencontre le chat du Cheshire et lui demande : « Quel chemin dois-je prendre ? »
la montée d'Outumaoro 
Le chat lui répond : « Cela dépend de l’endroit où tu veux aller. Si tu ne sais pas où tu veux aller, peu importe le chemin que tu choisis. »
À la différence d’Alice, nous savons tous où nous voulons aller et le chemin que nous empruntons est important, car celui que nous suivons dans cette vie nous conduit à la destination que nous atteindrons dans l’au-delà.

Puissions-nous choisir d’édifier en nous-mêmes une foi grande et puissante qui sera notre défense la plus efficace contre les desseins de l’adversaire, une vraie foi, le genre de foi qui peut nous soutenir et qui renforcera notre désir de choisir le bien. Sans une telle foi, nous n’allons nulle part. Avec elle, nous pouvons atteindre nos objectifs. [...]